samedi 8 juin 2013, par
Cette page propose un petit topo sur les autorisations de tournage suivant plusieurs cas de figures.
Les droit à l’image appliqué à la personne ne touche pas que le visage du sujet mais aussi sa sillhouette, voix, vétements ...
Le droit à l’image d’un bien peut être appliqué lorsqu’elle cause un trouble anormal.
Le droit à l’image concerne d’autres domaines comme les œuvres de l’esprit, sculpture, tableaux, musique, site web ...
Il y a autorisation tacite lorsque :
Une personne interviewée consent implicitement à ce que le réalisateur fasse des choix et donc des coupes et des ré-agencements dans les paroles prononcées, dans le respect de ce que la personne a dit. Le montage doit cependant resté visible (faux raccords ou fondu au noir pour marquer les coupures). Cela n’autorise pas de montrer deux interviewés filmés séparément afin d’en faire un dialogue, ni d’illustrer l’interview par des images qui pourraient altérer ou modifier le discours de l’interviewé.
Les tribunaux ont tendance à débouter les plaignants lorsque :
Les lieux public sont accessible à tous sans autorisation spéciales.
Manifestation sportives, concert ...
En achetant le billet d’entrée la personne accepte d’être filmé par toute personne accrédité à le faire.
Nécessite l’autorisation de la ville (Mairie). Ce droit ne peut en aucun cas être vendu.
Exceptions au droit d’auteur prévues par le droit Français (article 122-5 du CPI) :
ref : Le droit à l’image, qu’est-ce que c’est ?